Effets secondaires post-vaccin COVID : pourquoi les chiffres officiels ne reflètent pas la réalité

Effets secondaires post-vaccin COVID : pourquoi les chiffres officiels ne reflètent pas la réalité

Depuis 2021, des milliers de professionnels de santé, de scientifiques et de citoyens s'interrogent : pourquoi autant de jeunes, notamment des sportifs, font-ils des malaises, des arrêts cardiaques ou développent-ils des pathologies graves quelques jours après une injection contre la COVID-19 ? Officiellement, les réponses sont rassurantes.

Pourtant, les faits et la science indépendante racontent une autre histoire.

1. Les chiffres officiels : une illusion statistique

Les agences de santé (HAS, EMA, CDC, OMS) affirment que les effets indésirables graves post-vaccin sont rares, et que la balance bénéfice/risque reste largement positive.

“12,6 cas de myocardite par million de doses chez les jeunes hommes” (CDC, 2021)

Mais ces chiffres sont basés sur des remontées passives, comme les bases VAERS (USA), EudraVigilance (Europe) ou l’ANSM (France). Or, le rapport Lazarus (Harvard Pilgrim) démontre que moins de 1 % des effets secondaires sont effectivement signalés.


2. La science indépendante dresse un tout autre constat

Plusieurs études scientifiques publiées dans des revues à comité de lecture documentent des effets graves liés aux vaccins ARNm ou à vecteurs viraux (Pfizer, Moderna, AstraZeneca, J&J).

⚫ Myocardites

⚫ Thromboses / thrombocytopénies

⚫ Vasculites et autres syndromes auto-immuns

3. Pourquoi ces effets sont minimisés ou ignorés ?

  • Les institutions ne cherchent pas activement les effets secondaires (aucune démarche de pharmacovigilance proactive)

  • Les laboratoires ont financé les études initiales et ont accès à des données internes non publiées (Pfizer a dû les révéler sous contrainte judiciaire)

  • Les conflits d'intérêts sont massifs : plus de 70 % du financement de l'EMA provient de l'industrie pharmaceutique

Les mêmes structures qui ont imposé la vaccination sont celles qui en évaluent aujourd'hui la dangerosité. Comment pourraient-elles être impartiales ?


4. Le cas des sportifs : un signal déroutant

Les bases officielles affirment qu’il n’y a pas de hausse significative des arrêts cardiaques chez les jeunes sportifs. Pourtant :

  • Des compils vidéos et recensements non officiels documentent une hausse soudaine de morts subites en plein match ou entraînement

  • Des associations de parents, des clubs, des médias locaux ont relayé des centaines de cas sans explication

  • ❌ Or, ces cas ne sont souvent pas enregistrés comme liés au vaccin, car aucun protocole d'autopsie ciblée n'est imposé


🔍 Conclusion : un bénéfice/risque truqué

Lorsque le risque est dissimulé ou sous-estimé, le calcul du bénéfice/risque est faussé. Chez les enfants et les jeunes adultes, le risque de COVID est quasi nul, mais le risque d'effets secondaires graves est bien documenté.

❌ Refuser d'entendre les alertes scientifiques au nom d'un consensus officiel revient à nier la science elle-même.

Des experts comme Pierre Chaillot, Christine Cotton, Peter McCullough, ou Robert Malone ont levé le voile sur cette opacité. Aujourd’hui, il est temps de redonner la parole à une médecine intègre, fondée sur l’indépendance, la prudence, et la responsabilité individuelle.

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